Types et stades de stress

Commençons par définir le stress. Aujourd’hui, en science, ce terme désigne un ensemble de réactions adaptatives à l’impact de facteurs défavorables qui provoquent un stress dans certains systèmes de l’organisme. Cette réaction universelle et non spécifique à un impact puissant présente des types et des stades spécifiques. Il est possible de mesurer le niveau de stress. Une application pour smartphone classique peut vous aider. Sur https://antiage.click/fr/welltory-fr, vous pouvez télécharger l’application de test de stress et mesurer votre niveau de stress actuel.

Types de stress

La réaction émotionnelle au stress https://antiage.click/fr/stages-fr se manifeste immédiatement et directement sous la forme d’émotions ordinaires, positives et négatives. Le degré d’inconfort est déterminé par la perception individuelle de l’insuffisance des ressources disponibles et accessibles pour une réponse efficace.

L’eustress est provoqué par des émotions positives et mobilise efficacement le corps.

La détresse causée par des émotions négatives détruit le système immunitaire, nuit à la santé et entraîne des maladies. Lorsque le corps ne peut pas faire face à cet état négatif, il est souvent exposé à divers types d’infections. Les causes de détresse comprennent : une maladie grave d’un proche, un divorce, des conflits graves avec ses proches et ses employés, une maladie, des problèmes de digestion, de sommeil, etc.

Image : Types et stades de stress

Le stress psychologique est généralement causé par des facteurs sociaux. Une personne stressée ressent constamment de l’anxiété, de l’irritation et se déchaîne contre les autres.

Stades du stress

Au premier stade de mobilisation, on observe un regain d’énergie : le cœur bat plus vite et plus régulièrement, la respiration s’accélère et devient superficielle, la tension artérielle augmente et les hormones du stress (adrénaline et cortisol) sont libérées en doses accrues.

Au deuxième stade de résistance, le choc primaire se transforme en concentration : la production d’hormones reste supérieure à la normale, mais en adéquation avec la situation. Le corps maintient un état de vigilance accrue.

Au troisième stade d’épuisement, le corps se fatigue du stress, les ressources s’épuisent, les mécanismes de protection des systèmes immunitaire, nerveux, cardiovasculaire et autres systèmes actifs de l’organisme s’affaiblissent les uns après les autres.

Un organisme régulièrement exposé à des facteurs de stress s’épuise presque deux fois moins vite qu’en cas d’exposition minimale ou de calme. Suite à un stress prolongé et/ou intense, le système nerveux s’épuise. Dans ce cas, des anxiolytiques (tranquillisants) sont utilisés pour réduire l’intensité du stress. En cas de stress chronique, le médecin traitant, après examen, prescrit la posologie et la durée du traitement à base de sédatifs, de nootropes et d’antidépresseurs. L’automédication est source de complications ; il est déconseillé de la pratiquer. De plus, il est déconseillé de consommer du stress en mangeant ou en buvant de l’alcool.

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