Dépendance à l’alcool

Des recherches et des statistiques montrent que les personnes qui consomment de l’alcool en petites quantités ont un taux de mortalité prématurée plus faible que celles qui abusent de l’alcool et ne boivent pas du tout. Ce fait est associé à l’effet relaxant de petites doses d’alcool, qui réduit le stress, calme et supprime l’agitation psychomotrice (comme les antipsychotiques, les neurobloquants et les neuroleptiques). De plus, l’alcool stimule la production de lipoprotéines de haute densité, qui préviennent le dépôt de cholestérol. L’alcool est aussi traditionnellement utilisé comme stimulant émotionnel et comme « lubrifiant de la communication » dans la socialisation. C’est là que s’arrête l’effet positif de l’alcool sur l’organisme. Il existe plusieurs applications permettant de mesurer le niveau de stress à l’aide d’un flash et d’un appareil photo intégrés à un smartphone ou une tablette. Tout le monde peut télécharger l’application Welltory gratuitement via le lien direct https://antiage.click/fr/welltory-fr en bas de page.

L’effet de l’alcool sur le psychisme

Au début, l’alcool provoque une poussée passagère de force et d’excitation, car il réduit la maîtrise de soi, l’esprit critique, l’attention, la réflexion, la mémoire, et permet également de se sentir plus calme, plus détendu et plus confiant. C’est pourquoi les boissons alcoolisées sont utilisées pour remonter le moral et favoriser les moments conviviaux.

La science et https://antiage.click/fr/ ont prouvé les effets tranquillisants (anti-anxiété), sédatifs (calmants) et euphorisants (sentiment de joie, de plaisir, de bonheur) de l’alcool. Au fil de l’évolution de la dépendance, un effet stimulant s’ajoute, tandis que l’effet euphorisant diminue. Progressivement, la dépendance à l’alcool s’installe et il faut boire davantage pour ressentir des émotions positives. De fortes doses d’alcool augmentent le stress, l’agressivité et la colère.

L’euphorie, la socialisation, le repos, la réduction du stress et le redémarrage mental sont les principales causes du syndrome de dépendance à l’alcool, qui résulte de la dépendance à cette substance. Ce n’est pas un hasard si l’alcoolisme est l’un des éléments constitutifs d’un trouble mental. Les alcooliques souffrent souvent de troubles émotionnels, de dépression, etc.

L’effet de l’alcool sur l’organisme

Bien sûr, il est impossible de faire carrière en tant que sans-abri atteint d’une cirrhose du foie en un an, mais le corps se dégrade avec le temps. L’alcool provoque une déshydratation de la peau, une desquamation, des éruptions cutanées, des poches sous les yeux, une dilatation des vaisseaux sanguins et de la rosacée.

Des conséquences plus graves incluent divers ulcères, maladies du cerveau, des reins et des muscles. L’alcool augmente la tension artérielle, provoque une insuffisance cardiaque et augmente le risque de crise cardiaque. Le foie de l’alcoolique se surcharge de graisse, s’enflamme et se cicatrise, ce qui conduit tôt ou tard à une cirrhose. Il faut de 2 à 25 ans pour développer une maladie alcoolique, selon les caractéristiques de l’organisme et la dose totale d’alcool consommée. Avec le temps, les organes internes et le cerveau se dégradent. Des complications peuvent survenir : ulcères, inflammation, pancréatite, cirrhose du foie, arythmie, cardiomyopathie, insuffisance cardiaque, hypertension, crise cardiaque, accident vasculaire cérébral, trous de mémoire, diminution de l’intelligence, apathie, dépression, désocialisation, démence, delirium tremens et convulsions. Les troubles irréversibles aboutissent souvent à la mort.

Comment devenir alcoolique

La classification de l’alcoolisme en stades 1-2-3 est aujourd’hui dépassée. La classification des troubles mentaux selon la CIM-10 recense les abus ayant des conséquences néfastes et le syndrome de dépendance à l’alcool. Ainsi, la ligne au-delà de laquelle l’alcoolisme commence est la plus proche possible et est déterminée par le syndrome de dépendance à l’alcool (https://antiage.click/fr/) :

  • envie irrésistible, dépendance à l’alcool, désir irrésistible de boire,
  • importance de l’alcool dans la vie d’un alcoolique,
  • dépendance mentale et physique,
  • consommation régulière,
  • incapacité à contrôler la quantité d’alcool consommée,
  • syndrome de sevrage après l’arrêt.

Il est dangereux de boire régulièrement, en grande quantité, de manière incontrôlable et, surtout, d’accorder une grande importance à l’alcool. Normalement, le corps n’a pas besoin d’éthanol, contrairement à la nourriture et à l’eau.

Image : Sevrage alcoolique

Dès que l’envie de boire une bouteille de bière le vendredi soir ou de fêter son salaire avec son équipe à la fin du mois surgit pour la troisième fois consécutive, on est au bord de l’alcoolisme. Les périodes de sobriété et la quantité d’alcool consommée importent peu. Même si l’on parle d’une bouteille de bière par mois, on y accorde une grande importance, et la planification de cette journée est subordonnée au moment du début de la consommation d’alcool. Les alcooliques excessifs se passent facilement d’alcool pendant six mois ou plus. Dès que l’alcool devient un élément obligatoire à un certain stade de la vie, et ce Si cela se répète, la personne se retrouve au bord de l’alcoolisme. La répétition de telles situations mènera tôt ou tard au syndrome de dépendance à l’alcool.

La personne franchira imperceptiblement la limite entre la dépendance à l’alcool et sa consommation acceptable, parfois en petites quantités pour varier les plaisirs, en rehaussant les saveurs des plats et en découvrant de nouvelles sensations gustatives. S’installera alors une envie irrésistible de boire, une dépendance physique et mentale à l’alcool, une envie irrésistible de boire, une dépendance physique et mentale. L’importance de l’alcool dans la vie et sa consommation régulière entraîneront progressivement une incapacité à contrôler sa consommation et un syndrome de sevrage.

La dernière étape se caractérise par des crises de boulimie de plusieurs jours (pas plus d’une semaine) accompagnées d’une gueule de bois sévère. L’intervalle entre les crises varie de quelques semaines à plusieurs mois. Le syndrome asthénonévrotique dure 1 à 2 mois après une crise : troubles du sommeil, fatigue, irritabilité, baisse de performance. Boire de l’alcool, même une fois par mois, perturbe durablement l’état normal d’une personne, qui n’a tout simplement pas le temps de retrouver un état normal.

Pour éviter le développement de l’alcoolisme, après une consommation excessive (même de deux ou trois jours), il est nécessaire de s’abstenir complètement d’alcool pendant trois mois afin que l’organisme puisse se purifier. Par conséquent, un intervalle de deux à trois mois, même pour une consommation d’alcool « norme acceptable », selon https://antiage.click/fr/, peut être considéré comme relativement sûr.

La norme d’une dose d’alcool sans danger

En ce qui concerne la norme, il n’existe pas de dose d’alcool sans danger. Le risque peut être minimisé, mais le plus sûr est de ne pas consommer d’alcool du tout. L’alcool est associé à cinquante maladies, et la quantité consommée augmente directement le risque de tomber malade.

Dans le test des troubles liés à la consommation d’alcool de l’OMS (euro.who.int), les trois premières questions clés contiennent implicitement la quantité d’alcool standard de l’OMS (un verre standard correspond à 10 grammes d’alcool).

Les questions portent sur :

1. Fréquence de consommation d’alcool.
2. Quantité quotidienne.
3. Fréquence de consommation de 60 g ou plus d’éthanol pur.

Pour rester dans la « norme », il suffit de boire 100 g d’alcool pur ou un peu moins d’une fois par mois, ou pas plus de 60 g d’alcool pur 4 fois par mois. Une dose de 60 g d’alcool pur une fois par semaine est essentielle, même en l’absence d’autres conséquences.

60 g d’alcool pur équivalent approximativement à : 180 g de spiritueux (40 % vol.) ; 600 g de vin (10 % vol.) ; 1 500 g de bière (4 % vol.).

Il est essentiel que la consommation d’alcool n’entraîne pas d’autres conséquences : gueule de bois, trous de mémoire, irresponsabilité, culpabilité, remords, blessures subies ou infligées sous l’influence de l’alcool, désir des autres de boire moins, incapacité à s’arrêter une fois qu’on a commencé à boire. Si l’une de ces conditions est violée, on peut parler de dépassement de la « norme » et de dépendance à l’alcool, quelles que soient la fréquence et la quantité consommées.

Par exemple, si, après avoir bu 100 à 300 g de whisky une fois par an, une personne sous l’influence de l’alcool a causé ou subi une blessure, a éprouvé des remords ou a entendu les souhaits d’autrui de boire moins, il s’agit d’un indicateur de consommation d’alcool dangereuse ou nocive, c’est-à-dire d’alcoolisme. Ceci est un fait, même si la personne n’a pas « abusé » de sa consommation ce soir-là, et que le lendemain elle se souvenait parfaitement de tous les événements, n’avait pas la gueule de bois et était arrivée à l’heure à un rendez-vous.

Conséquences de l’abus d’alcool

Environ 3 millions de décès surviennent chaque année dans le monde en raison d’une consommation dangereuse ou nocive de boissons alcoolisées, soit plus de 5 %. Parallèlement, chez les 20-40 ans, ce chiffre dépasse 10 %. L’alcool est responsable de plus de 50 maladies graves.

Un taux d’alcoolémie supérieur de 4 fois à la norme augmente le risque de cancer : de 5 fois celui de la cavité buccale, de 2 fois celui du larynx, de 50 % celui des intestins et de 30 % celui du pancréas. Des lésions hépatiques sont observées avec une dose quotidienne de 20 à 40 g d’alcool pur.

Comment réduire les effets de la consommation d’alcool pour ne pas devenir alcoolique ?

Pour éviter de devenir alcoolique, selon https://antiage.click/fr/, il est préférable de manger avec un verre plutôt qu’avec un en-cas. Privilégiez les vins secs naturels. La vodka, le whisky et les autres boissons fortes doivent être dilués. L’organisme assimile 10 grammes d’alcool pur en une heure environ. Si vous diluez la boisson et la répartissez sur toute la soirée, la quantité totale d’alcool pur sera faible et les risques pour la santé minimes. Il est recommandé de commencer à boire de l’alcool le plus tard possible et de terminer au coucher du soleil, 3 heures avant le coucher ou à 21 h. Quelques gorgées d’eau claire après un cocktail aideront à éviter la déshydratation.

Pour une personne moyenne, 300 g d’alcool fort par mois ou pas plus de 180 g Boire des boissons fortes une fois par semaine est une dose critique. Pour ne pas devenir alcoolique, ces normes ne doivent pas être dépassées.

Pour éviter de devenir alcoolique, il est conseillé d’arrêter de boire de l’alcool pendant trois ans ou plus si, sous l’influence de l’alcool, une personne a causé ou subi une blessure, a éprouvé des remords, a entendu les souhaits d’autrui de boire moins, a « abusé » et, le lendemain, ne s’est pas souvenue de tous les événements, a eu la gueule de bois et n’est pas arrivée à l’heure à un rendez-vous. Chacun de ces événements est un signe de consommation d’alcool dangereuse ou nocive. Parmi ces événements négatifs, on peut citer les maladies graves, l’invalidité, la perte d’un proche, de tous ses biens et le décès résultant d’une consommation d’alcool dangereuse ou nocive.

Si, malgré ces précautions, vous continuez à boire de l’alcool, vous risquez tôt ou tard de franchir imperceptiblement la ligne et de développer une grave maladie alcoolique. Le syndrome de dépendance à l’alcool s’aggravera alors inévitablement, entraînant des conséquences négatives sur la santé, le psychisme, la famille, la vie sociale et professionnelle de l’alcoolique. Se remettre d’une dépendance à l’alcool n’est pas facile, tout le monde n’y parvient pas, et ce uniquement après une abstinence totale.

L’alcool n’est objectivement pas une valeur vitale : le corps n’en a pas besoin, comme par exemple l’air, l’eau et la nourriture. Il n’existe pas de dose d’alcool sans danger ; le plus sûr est de ne pas en boire du tout. En cas d’abstinence totale, l’organisme ne s’en débarrasse pas immédiatement et les fonctions cérébrales ne se rétablissent pleinement qu’après six mois à un an.

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