Classification and list of dependencies

L’addiction (ou addiction) est un besoin hyper-obsessionnel et intense de quelque chose ou de quelqu’un qui, une fois habitué, se transforme en habitude pernicieuse, imposant de sérieuses restrictions à la communication et aux activités quotidiennes. La page https://antiage.click/fr/all-dependencies-fr propose une classification et la liste la plus complète des dépendances à ce jour. Des pages distinctes sont consacrées aux addictions à l’alcool, à la caféine (thé, café) et à la nourriture sur https://antiage.click/fr/.

Qu’ont en commun les addictions ?

L’addiction est un besoin hyper-obsessionnel et intense de quelque chose ou de quelqu’un qui, une fois habitué, se transforme en habitude pernicieuse, imposant de sérieuses restrictions à la communication et aux activités quotidiennes. Être dépendant n’est pas une vie idéale, c’est pourquoi de nombreuses personnes souffrant d’une dépendance (ou leurs proches) souhaitent s’en débarrasser.

Composantes communes à toutes les dépendances :

  • augmentation progressive de la dose, augmentation de la tolérance,
  • négativité à l’arrêt ou absence de dépendance,
  • volonté de fournir des efforts importants pour obtenir, changements d’humeur,
  • consommation excessive,
  • perte de maîtrise de soi lors de la consommation,
  • singularité, surévaluation, hiérarchisation inadéquate pouvant causer des dommages,
  • ignorance des conséquences négatives,
  • rechutes,
  • conflits avec les autres et avec soi-même.

Les principaux types de dépendances les plus courants sont connus de tous. Concernant les formes modernes d’addictions, la communauté médicale et même l’OMS ne disposent pas d’un avis unique et tranché sur certaines questions. La page https://antiage.click/fr/all-dependencies-fr présente une classification des types d’addictions et la liste la plus complète à ce jour.

Image: Many addictions

La physiologie, la psychologie et les critères de chaque addiction sont spécifiques. Il n’est pas toujours possible d’interpréter clairement les signes d’addiction et de prescrire un traitement, même pour des spécialistes expérimentés en narcologie, des psychothérapeutes et des psychologues. Il n’existe pas de classification univoque des catégories d’addictions ni de liste complète dans la littérature scientifique, car il n’existe pas de consensus sur cette question au sein de la communauté scientifique. Il n’est pas nécessaire de contacter immédiatement un hôpital ou un autre centre de traitement ; il suffit de consulter un médecin pour une consultation gratuite. Ce processus nécessite d’identifier les signes et les cycles de la dépendance, d’en comprendre les causes, de la contrôler et de s’en débarrasser.

Classification des dépendances en deux types

La plupart des experts classent les dépendances en deux types : chimiques et mentales. Le premier groupe se caractérise par la présence d’une substance active. Les dépendances chimiques, telles que la toxicomanie, l’abus de substances, l’alcoolisme, le tabagisme, la dépendance alimentaire et la dépendance aux médicaments (antidépresseurs, tranquillisants, somnifères, analgésiques), sont traitées par des narcologues et des psychiatres. Aux stades avancés, la dégradation du corps et du psychisme est si importante qu’elle peut entraîner la mort.

Les dépendances psychologiques ne sont pas conditionnées chimiquement et se caractérisent par des troubles du comportement, aggravés par l’incapacité à arrêter certaines activités par soi-même. Les addictions non chimiques les plus courantes sont les addictions sociales ou à Internet, les obsessions en matière de bien-être et le jeûne, ou, au contraire, la suralimentation.

Les addictions psychologiques incluent le shopping, le travail, la passion excessive pour le sport, la précipitation, la télévision, l’enlisement dans une secte, les escroqueries financières, les associations de supporters, les loisirs obsessionnels, les loisirs pathologiques (y compris les sports extrêmes), etc. Vous pouvez télécharger dès maintenant, sur https://antiage.click/fr/welltory-fr en bas de page, un test de stress pour mesurer votre niveau de stress actuel. Les régimes, le jeûne, ou, au contraire, la suralimentation et les autres addictions alimentaires non substantielles diffèrent par leurs mécanismes d’apparition et de développement, de l’addiction aux produits sucrés ou salés, qui crée une dépendance physique.

La dépendance psychologique est plus facile à traiter que la dépendance physique. Les causes des addictions psychologiques incluent les états anxieux, les tendances dépressives et les phobies. Parmi les facteurs aggravants figurent l’instabilité psychique, la perte de maîtrise de soi et l’insatisfaction face à la vie. Les dépendances peuvent être classées selon qu’elles sont conscientes ou inconscientes.

Les addictions à l’alcool, à la caféine (thé, café, etc.) et à la nourriture font l’objet de pages distinctes sur https://antiage.click/fr/.

Addictions physiques

Un pourcentage important de toutes les addictions physiques sont des addictions aux drogues et à la toxicomanie. De plus, les addictions physiques incluent la dépendance alimentaire, car les aliments sont composés de diverses substances chimiques, notammentg psychoactifs. Les substances alimentaires addictives comprennent la morphine et la caséine (converties en opiacés) présentes dans les produits laitiers, les colorants (E100-E182), les conservateurs (E200-E299), les stabilisants (E400-E499), les émulsifiants (E500-E599), les exhausteurs de goût (E600-E699, dont le glutamate monosodique ou glutamate E621), les antimousses (E900-E999), d’autres additifs alimentaires, le sel, le sucre, une combinaison de matières grasses et de sucre, de matières grasses et de sel. Dans certaines combinaisons de certains produits, certaines des substances alimentaires énumérées peuvent entraîner une dépendance alimentaire. C’est ainsi que se produit une consommation excessive et malsaine de fromage, de saucisses, de fast-food, de gâteaux, de viennoiseries, d’autres sucreries et autres produits nocifs pour la santé.

En règle générale, la dépendance alimentaire est causée par de nombreux produits contenant des graisses et du sel : fromages à pâte dure, chips, saucisses, snacks, frites, hamburgers, pizzas ; ainsi que des graisses et du sucre : chocolat, halva, gâteaux, viennoiseries, biscuits et autres sucreries.

La toxicomanie est l’usage pathologique de stupéfiants tels que : opioïdes, cocaïne, morphine, codéine, trimépéridine, fentanyl, tramadol, buprénorphine, butorphanol, nalbuphine, naloxone, naltrexone, haschisch, héroïne, DOB, LSD, MDMA, méthaqualone, méthylphénidate, hallucinogènes, etc. La liste des drogues s’allonge constamment avec l’apparition de nouvelles substances. La toxicomanie provoque des troubles somatiques et mentaux, ainsi qu’une dégradation de la personnalité. La toxicomanie doit être prise en charge par un narcologue et un psychothérapeute ayant suivi une formation spécifique.

La toxicomanie est un désir irrépressible de consommer des drogues qui ne sont pas classées comme telles, mais qui provoquent une intoxication, une accoutumance, une dépendance mentale et/ou physique. La différence entre la toxicomanie et la toxicomanie, tant au niveau des manifestations que des conséquences, est insignifiante. Ces deux addictions ne diffèrent que par les substances qui provoquent la dépendance.

Les toxicomanes reniflent de l’essence, du gaz, des vapeurs de produits chimiques courants, de la colle, de la peinture, des solvants, et consomment des médicaments (tranquillisants, antiparkinsoniens, anticholinergiques, antidépresseurs et sédatifs). Les toxicomanies incluent également le barbiturisme (addiction aux barbituriques), le chloralisme (chloralomanie), le muscarinisme (prise d’amanite tue-mouches) et le tabagisme (fumer du tabac). Le caféisme, le théisme et l’alcoolisme sont considérés séparément.

Dépendances psychologiques

La dépendance psychologique est le désir de retrouver le plaisir déjà ressenti sous l’influence d’un facteur, malgré les conséquences indésirables. Une interruption ou l’incapacité à retrouver ce sentiment agréable provoque un sentiment d’anxiété, d’inquiétude, de peur et de tension psychologique.

La dépendance psychologique la plus grave est l’attirance pathologique pour le jeu (ludomanie, addiction au jeu, addiction au jeu, addiction au jeu par le jeu). L’attirance pour le risque, qui se manifeste par des jeux de hasard avec des jetons ou de l’argent dans un casino, aux cartes ou sur des machines à sous, conduit non seulement à des dépenses injustifiées, des dettes et des prêts, mais aussi à la dépression, aux troubles nerveux et au suicide.

La dépendance à la télévision n’est pas considérée comme une maladie, mais de nombreuses personnes regardent la télévision plus de deux ou trois heures par jour. À 70 ans, certains télé-dépendants auront consacré dix ans de leur vie à la télévision. Chez les personnes souffrant d’addiction à la télévision, l’électroencéphalogramme cérébral, même après l’arrêt de la télévision, montre un effet similaire à celui des tranquillisants (manque d’initiative, passivité, relaxation). L’addiction à la télévision est une addiction à la télévision, tandis que l’addiction au téléphone, accompagnée de la peur de se retrouver sans appareil, est appelée nomophobie.

L’utilisation excessive et incontrôlée d’Internet (navigation sur le web, recherche d’informations, chats, forums, utilisation des réseaux sociaux, autres communications virtuelles, addiction à la pornographie, cybersexualité) n’est pas non plus considérée comme un trouble mental. La CIM-11 ne couvre que l’addiction aux jeux vidéo et l’addiction aux jeux d’argent en ligne.

Terminer et gagner à un jeu vidéo provoque une libération de dopamine, ce qui explique que certains scientifiques comparent l’addiction au jeu à l’alcool et aux drogues. Le jeu est une priorité excessive par rapport aux autres activités quotidiennes, malgré l’apparence de conséquences indésirables. Souvent, ce n’est pas le processus de jeu qui pose problème, mais une gestion du temps inefficace.

L’addiction à l’urgence s’accompagne d’un sentiment intérieur de manque de temps pour les choses essentielles et d’une peur de ne pas terminer les tâches importantes à temps. La dépendance à l’urgence se caractérise par une anxiété constante face au temps, une surveillance étroite de celui-ci, une accélération du rythme d’activité, une concentration maximale sur la résolution de problèmes et de tâches, et un désir d’occuper tout son temps libre. Les personnes souffrant de dépendance à l’urgence, contrairement à celles qui sont ancrées dans le temps, voient l’avenir avec une charge de travail encore plus importante, sous des couleurs sombres et lugubres.

Le workaholisme est un désir pathologique de ne pas travailler pour affirmer sa propre importance.

Le shoppingaholisme permet d’être plus heureux pendant une courte période, en achetant des produits de première nécessité. L’oniomanie est une addiction aux choses inutiles et superflues, soulage le stress et provoque l’euphorie. Le simple fait d’acheter sans contrôle peut apporter plus de satisfaction que les biens achetés. Les conséquences négatives de l’oniomanie incluent les dettes, les prêts, la déception et les problèmes familiaux.

Oscar de la Renta qualifiait de victime de la mode toute personne qui suit les tendances au-delà du bon sens. L’addiction au tatouage s’accompagne d’un désir irrésistible de se parer. La tanorexie est une addiction aux rayons ultraviolets. La trichotillomanie est une épilation obsessionnelle du corps et de la tête.

Les personnes souffrant de dysmorphophobie tentent de corriger une laideur imaginaire ou d’améliorer et de rapprocher l’image négative de leur corps de l’idéal. Lorsqu’il n’est plus possible de dissimuler un défaut par des cosmétiques ou des vêtements, on a recours à la chirurgie esthétique. Mais pour les personnes dépendantes de la chirurgie esthétique, la chirurgie esthétique n’apportera jamais de résultats satisfaisants.

La kleptomanie est un désir obsessionnel de voler. Une passion obsessionnelle pour le gain (avidité, corruption, extorsion) se manifeste par l’extorsion de cadeaux, de pots-de-vin en argent ou en objets, et par l’accumulation de bric-à-brac, comme chez Plyushkin. La syllogomanie (accumulation obsessionnelle, accumulation de bric-à-brac, comme chez Plyushkin) consiste à accumuler et à stocker des objets en plus grande quantité que nécessaire, ce qui crée du désordre.

Une dépendance sociale apparaît entre les personnes qui interagissent entre elles ou au sein d’une communauté. La dépendance à une opinion autoritaire est due à l’immaturité de l’individu, à son manque d’indépendance et de responsabilité dans ses décisions. En s’appuyant sur une opinion qui semble autoritaire, une personne vit la vie d’autrui. Ses propres complexes nécessitent des actions pour les éradiquer, d’où une dépendance aux moyens d’éradiquer ces complexes (chirurgie esthétique, dysmorphophobie, tanorexie, trichotillomanie, addiction au travail, addiction au jeu, addiction au shopping, etc.). La dépendance pathologique à sa propre créativité et à sa reconnaissance publique se traduit par un abandon des autres activités quotidiennes et une indifférence froide envers la famille et les amis.

La dépendance émotionnelle envers une autre personne est confondue avec l’amour, bien qu’il s’agisse d’un sentiment complètement différent. L’addiction sexuelle se distingue du comportement sexuel normal par des actions et des pensées obsessionnelles à caractère sexuel. Ainsi, le sexe devient le sens de la vie.

La dépendance émotionnelle à un jouet, un animal de compagnie virtuel, un robot, une application pour smartphone ou un objet virtuel est appelée l’effet Tamagotchi.

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